Le 1er mars 1815, un événement historique majeur se produit lorsque Napoléon Bonaparte débarque à Golfe-Juan, marquant ainsi le début d’une période connue sous le nom des Cent-Jours. Ce jour-là, une petite flottille apparait au large des côtes françaises, mettant fin à la période d’exil de Napoléon sur l’île d’Elbe. Parti de l’île d’Elbe le 26 février, Napoléon est à bord de l’Inconstant, accompagné de six autres navires. Avec lui se trouvent ses proches et environ mille soldats de sa garde.

La bataille de Verdun, qui s’est déroulée du 21 février au 15 décembre 1916, représente l’une des périodes les plus sombres et les plus dévastatrices de la Première Guerre mondiale. Elle est inscrite dans la mémoire collective française comme un symbole de l’horreur et de la résilience face à l’adversité.

Après son abdication du 6 avril 1814, Napoléon Bonaparte reçoit la souveraineté sur l’île d’Elbe et conserve quelques centaines de soldats, pensionné par le gouvernement des Bourbons restaurés. Pendant ce temps, en France, le régime de la Restauration dirigé par Louis XVIII est fragilisé malgré ses efforts pour apaiser les tensions. Napoléon, profitant de cette instabilité, prépare secrètement son retour, planifiant minutieusement son évasion de l’île d’Elbe pour rétablir son pouvoir en France.

Après la réunion à la France d’Avignon et du Comtat Venaissin en 1791, résultat d’un référendum soumis aux habitants, le Pape a toutefois conservé une autorité spirituelle et religieuse sur ces territoires, mais il a perdu son autorité temporelle et politique. Avant la Révolution française, Avignon et le Comtat Venaissin étaient des territoires sous la souveraineté du Pape, faisant partie des États pontificaux. Le Pape exerçait à la fois une autorité spirituelle en tant que chef de l’Église catholique et une autorité temporelle en tant que souverain temporel sur ces territoires. Le Traité de Tolentino a été un accord signé entre la France et le Saint-Siège (le Vatican) le 19 février 1797, à Tolentino en Italie, durant les guerres de la Révolution française. Ce traité a été un événement significatif dans le cadre des conflits entre la France révolutionnaire et les États italiens, notamment les États pontificaux dirigés par le pape Pie VI. Le 17 février 1940 marque le début d’une manœuvre audacieuse qui changera le cours de la Seconde Guerre mondiale : le Plan Manstein. Élaboré par le général allemand Erich von Manstein, ce plan stratégique est étroitement lié à la Blitzkrieg, ou “guerre éclair”, une doctrine militaire qui prône des attaques rapides et coordonnées pour submerger l’adversaire. C’est ce plan que va retenir le Führer pour son offensive du 10 mai 1940. Le 1er juin 1879, le fils unique de l’Empereur Napoléon III et l’impératrice Eugénie est tué par les Zoulou au fin fond des terres arides de l’Afrique australe.

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Le samedi 5 mai 1821 à 17h49 s’éteignait à Longwood House sur l’île de Sainte-Hélène, Napoléon Ier, Empereur des Français. Alité depuis le 17 mars, Napoléon Bonaparte est atteint de douleurs atroces à l’estomac. Il accepte de moins en moins les aliments, les vomissements réguliers l’affaiblissent de jour en jour.

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La bataille de Paris qui s’est déroulée le 30 mars 1814 a opposé l’armée française aux forces européennes alliées contre l’Empire de Napoléon. La défaite française marque la fin des opérations militaires de la Campagne de France et conduit à la première abdication de Napoléon puis la Restauration des Bourbons.

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Lors de leur ultime offensive de la Grande Guerre, les Allemands bombardent Paris avec trois canons géants situés dans la forêt de Saint-Gobain, à 140 km au nord de la capitale. L’un de ces canons tire un obus à l’aveuglette le 29 mars 1918. Il atteint l’église Saint-Gervais dans le 4ème arrondissement de Paris. L’abbé Gauthier, curé de la paroisse depuis 1907, célèbre les vêpres du Vendredi Saint au moment du drame.

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Le 19 mars 1815, le Roi Louis XVIII, devant l’avancé inexorable de Napoléon vers Paris, choisit de fuir le pays. Le lendemain, l’empereur des Français est acclamé par la foule lors de son entrée dans Paris.

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Après avoir tourné la page de la monarchie absolue en France, la Convention Nationale par son décret du 16 pluviôse an II (4 février 1794) abolit l’esclavage des « Nègres » sur une partie de ses colonies sans toutefois abolir la traite de ces derniers. Le décret d’abolition ne s’applique cependant qu’aux « Nègres » et exclusivement à certaines colonies. Napoléon n’a jamais souhaité voir l’esclavage réintroduit là où il avait été aboli. Cela pourrait en étonner certains mais cela est bel et bien vrai. Le futur Empereur des Français prononcera même ces mots : « Nous ne devons pas retirer la liberté à des hommes à qui nous l’avons donnée ».

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Le Code civil des Français fut promulgué le 21 mars 1804. Ce code fut le premier d’une longue série touchant à la fois le droit civil (qui concerne les droits et les rapports entre les citoyens), le droit commercial (pour organiser le commerce) et le droit pénal (pour sanctionner des infractions). Jean Tulard dira que ce Code « consacrait la disparition de la féodalité et le triomphe de la laïcité », confirmation solennelle de deux grands acquis de la Révolution.

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Le 24 mars 1860, le roi Victor-Emmanuel II par la signature du traité de Turin, accepte de céder Nice et la Savoie à la France.